Même le malheur finit par se fatiguer.
Tiens, tu vas goûter ma bonne soupe, hein.
Après tu vas enlever ces guenilles et te faire toute belle.
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Même le malheur finit par se fatiguer.
Tiens, tu vas goûter ma bonne soupe, hein.
Après tu vas enlever ces guenilles et te faire toute belle.
L'amant caché dans le placard, les quiproquos, les portes qui claquent, la réplique "Ciel, mon mari !"... Autant de détails propres au "vaudeville".
Ce type de comédie, très prisée au théâtre, tire son nom de chansons grivoises normandes du XVe siècle. Celles-ci étaient appelées "vaudevires" en référence aux Vaux-de-Vire, dans l'actuel Calvados, dont les premiers paroliers étaient originaires.
Très populaires à la campagne, ces chants ont séduit les citadins, qui les ont rebaptisés "vaudevilles", ceux des grandes villes, par opposition aux vaudevires originels (de Vire).
Devant la popularité des thèmes, souvent autour de l'adultère, donnant lieu à des situations grotesques, ces chansons ont été adaptées sur scène au Théâtre du Vaudeville, le premier du genre, qui a ouvert à Paris en 1792.
Source : Direct Matin n°1910 vendredi 24 juin 2016
Crédits photographiques Elie Mehdi - recolorisée
How many years I know I'll bear
I found something in the woods somewhere
My head was warm my skin was soaked
I called your name 'til the fever broke
When I awoke the moon still hung
The night so black that the darkness hummed
crédits photographiques Karim Hobeika
I am a little bit of loneliness, a little bit of disregard
Handful of complaints but I can't help the fact
That everyone can see these scars
I am a little bit insecure, a little unconfident
'Cause you don't understand, I do what I can
But sometimes I don't make sense
I am what I want you to want, what I want you to feel
But it's like no matter what I do
I can't convince you to just believe this is real
crédits photographiques Karim Hobeika
Ce fut la ronde de l'amour
La peur qui donne la main au désir