Chopin, Pierre-Emmanuel Prouvost d'Agostino
Le 13e nocturne de Chopin
Op. 48 N°1
do mineur
Interprète Maxence Caron
http://maxencecaron.fr/2015/12/maxence-caron-joue-le-13e-nocturne-de-chopin-op-48-n1/
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Chopin, Pierre-Emmanuel Prouvost d'Agostino
Le 13e nocturne de Chopin
Op. 48 N°1
do mineur
Interprète Maxence Caron
http://maxencecaron.fr/2015/12/maxence-caron-joue-le-13e-nocturne-de-chopin-op-48-n1/
La fortune ne rend heureux que ceux qui ont toujours connu une certaine aisance,
qui y sont depuis leur enfance préparés.
Il n'y a plus de valeur refuge.
Stéphane Zagdanski ne quitte pas le monde des livres.
La nouvelle œuvre de Stéphane Zagdanski, intitulée RARE,
vous paraîtra soit farfelue et déconcertante,
soit follement libre et innovante.
[Cette expression] trouve son origine au XVe siècle, dans la confection. A l'époque, les tissus étaient plus épais qu'aujourd'hui. Les coutures, boutonnières et ourlets incommodaient ceux qui les portaient. Les tailleurs utilisaient donc une latte pour les marteler afin de diminuer leur épaisseur.
Au siècle suivant, la pratique s'est transmise au théâtre, où l'un des personnages récurrents était un tailleur. Celui-ci apparaissait sur scène pour frapper avec enthousiasme son client pour rendre les coutures de ses vêtements moins apparentes. La victime était ainsi rossée sans avoir rien demandé, sous prétexte qu'il fallait la rendre plus élégante. Cette saynète, qui amusait le public, a ainsi fait passer l'expression dans le langage courant.
Source : Direct Matin n°1834 vendredi 12 février 2016
Cette pratique où l'on joint le geste à la parole permettrait de conjurer le mauvais sort.
Le fait de toucher du bois par superstition est attesté dès l'Antiquité. A cette époque, les Grecs pensaient en effet que les arbres étaient sacrés, et tout particulièrement les chênes. Cette croyance résultait du fait que ces arbres, de par leur grande taille, attireraient davantage la foudre. Or, les Grecs considéraient les clairs comme la manifestation de Zeus, le dieu suprême dans leur mythologie. Au fil du temps, la relation entre le bois des arbres et la chance s'est progressivement transmise aux Romains et aux Gaulois.
Par la suite, dans le courant du Moyen Age, les chrétiens se sont réapproprié cette symbolique païenne et l'ont rattachée au supplice de Jésus, qui a été crucifié sur une croix en bois. Toucher ce matériau est donc devenu au fil du temps un moyen de demander à Dieu d'exaucer ses prières.
Source : Direct Matin n°1832 mercredi 10 février 2016
La cendre est salissante.
Je reconnais que je suis pécheur.
J’accepte que la crasse de mon péché
ordinairement cachée apparaisse au grand jour.
La cendre est ce qui demeure après l’incendie, purifié par le feu.
Il est déjà le signe de la puissance de Dieu qui nous enflamme
et nous purifie par son amour ardent.
Nous passons de l’aveu de notre misère
à celui de sa miséricorde.
Matisse, Picasso... et les enfants dans les rues.
Les sirènes d'alerte au bombardement aérien
se sont déclenchées... cet instant fugitif...
avançant prudemment à travers la verdure ambrée de la plaine